Comme l’a exprimé l’écrivain
Jacques Serena :
« Ses sculptures, parce qu’absolument contemporaines, sont fatalement graves ».
Finalement, la pièce ainsi créée semble comme portée par un élan irrésistible dont l’origine et la destination ne dépendent que de l’imaginaire de celui qui la regarde.
La discontinuité des formes, quant à elle, autorise le passage du regard et articule les différents volumes dans lesquels l’œuvre évolue. Les différents morceaux sont assemblés, réaménagés puis soudés les uns aux autres.
L’artiste nous donne ainsi à voir simultanément l’espace inscrit dans l’œuvre, et l’espace «extérieur» dans lequel elle gravite. Révélant l’élan porteur initial qui de nature se superpose avec la représentation de sa trajectoire.
Médaille GRAND VERMEIL de la ville de Paris
Prix de sculpture de la fondation Taylor
2 ème prix de sculpture des haras nationaux
1er prix de sculpture de la Société Nationale des Beaux-Arts